mercredi 21 juillet 2021


Rectifying the Effets of COVID-19 on Vulnérable populations in West Africa (RECOVER)

le Wanel Agit


Les chercheurs scientifiques de l'Afrique de l'Ouest se sont mis en réseaux (Wanel)) pour réfléchir et identifier les effets collatéraux du COVID-19 sur la population vulnérable de la sous-région. Ces chercheurs vont présenter ensuite aux différents systèmes de santé de l'Afrique et du monde en général et toutes autres parties prenantes dont les partenaires financiers aussi,, les résultats de leurs recherches qui seront les différents effets du COVID-19 observés sur la population vulnérable de l'Afrique de l'Ouest. ces effets peuvent être aussi observés sur d'autres populations dans le monde.

West African Network of emerging leaders (WANEL) est un réseau de chercheurs composé de médecins en santé public, de socio-anthropologues, de communicants, d'épidémiologistes, de toxicologues … créer en 2015 et ayant son siège au Ghana à Accra, le WANEL vient d'inscrire son premier projet intitulé RECOVER qui est soutenu par des partenaires financiers canadiens. 

La pandémie du Corona Virus qui continue de secouer le monde a impacté aussi l'Afrique, plus précisément l'Afrique de l'Ouest. Nous observons la cherté de la vie, l'inflation des produits alimentaires, la spéculation sur les produits, la difficulté d'accès d'un pays à un autre, la libre circulation des personnes et des biens a pris un coup, les difficultés aux soins de santé des populations pauvres, les pertes d'emploi et de business de certains, la déscolarisation de certains apprenants à cause du confinement, les cas de divorce des couples, les cas  de violences faites sur l'homme et sur la femme de même que les enfants etc. 

 Le projet RECOVER vient donc pour identifier ces différentes situations que vivent la population de l'Afrique de l'Ouest et proposer aux gouvernants et partenaires des solutions pour atténuer ces effets collatéraux afin d'améliorer les conditions de vie des populations.

Le projet RECOVER a été lancé à Accra le 10 juin 2021 au cours d'un atelier par le Coordonnateur RECOVER et président du WANEL le Docteur Jean-Paul Dossou, en présence des membres du Réseau venus de l'Afrique de l'Ouest. Au terme de l'atelier, chaque membre pays ira collecter les effets collatéraux du COVID-19 dans son pays et les différentes informations recueillies feront objet d'analyse et se synthèse.

Rappelons que le projet RECOVER a une durée d'exécution de trois ans. 

   

   

jeudi 29 octobre 2015

Maître Gims : «L'argent m'a changé dans le bon sens»

Vox populi, l'émission itinérante qui donne la parole au peuple

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Le port de casque

Un moyen pour éviter les chocs crâniens

port de casque obligatoire au Benin
Instaurer au Bénin depuis plusieurs mois et mis en application le 02 Aout dernier, le port de casque pour les citoyens semblent être une condamnation. Un moyen pour spolier la population de leur moyen financier. En effet, cette dernière ne considère pas l’importance du port de casque. Conduire les engins à deux roues à Cotonou, n’exclue pas les risques d’accident aux conducteurs, et pour cette cause, avoir son casque ne ferait que réduire les cas d’accidents les plus   graves.

L'augmentation du port du casque est mise en avant comme moyen efficace de réduire les blessures et les décès sur la route. Chaque année les accidents de la route tuent, blessent ou rendent handicapées des usagers de la route. La plupart des décès sont évitables. Dans de nombreux pays à bas ou moyens revenus, les usagers de deux roues particulièrement, les motocyclistes, représentent plus de 50% des blessés ou des tués sur la route. Les blessures à la tête constituent la principale cause de décès et d'incapacité chez les motocyclistes et le coût de ces blessures est élevé, car elles requièrent des soins médicaux spécialisés ou une longue réadaptation. Cependant, le port du casque est le moyen le plus efficace de réduire les blessures à la tête et les décès provoqués par des accidents de motos ou de vélos. Il a été démontré que le port de casque, permettait de diminuer le risque et la gravité des blessures de plus de 70%. La probabilité d'un décès de presque 40% et qu'il réduisait sensiblement les coûts des soins associés à de tels accidents. De nombreux pays ont réussi à augmenter le port du casque en adoptant des lois le rendant obligatoire, en faisant appliquer ces lois et en informant le public à ce sujet, de même que sur les avantages du port du casque. Au Bénin, la sensibilisation n’a fait aucun effet sur la population, au contraire, cette dernière réfute la pratique qui selon elle, n’apporte aucun intérêt à la réduction de la pauvreté au Bénin. Doit-on rester en vie pour être riche ?ou être riche pour rester en vie ? A l’échelle mondiale, le nombre de motocycles et de bicyclettes et leur utilisation ont tendance à augmenter, tant à des fins de transport que de loisirs. En fait, l’essentiel de la croissance du nombre de véhicules sur les routes, dans le monde, tient à l’utilisation grandissante des deux-roues motorisés. Dans un accident de motocycle ou de bicyclette, deux mécanismes interviennent principalement, entraînant un traumatisme du cerveau par contact direct et par accélération–décélération. Chaque mécanisme, cause différents types de blessures. En cas de collision, le motocycliste ou le cycliste est souvent éjecté du motocycle ou de la bicyclette. Si sa tête heurte un objet, comme le sol, son mouvement vers l’avant est stoppé, mais le cerveau, qui a sa propre masse, continue d’avancer jusqu’à ce qu’il heurte la paroi intérieure du crâne. Il rebondit alors pour aller frapper le côté opposé du crâne. Le résultat de ce type de blessure peut aller du traumatisme crânien mineur, comme une commotion cérébrale, à un traumatisme crânien mortel. Les traumatismes crâniens qui résultent de blessures par contact ou par accélération–décélération, se divisent eux-mêmes en deux catégories, à savoir des plaies à la tête ouvertes ou fermées. La plupart des traumatismes cérébraux résultent de plaies fermées autrement dit, quand il n’y a pas de plaie ouverte au cerveau. Eviter ces cas de choc, revient à sécuriser sa tête, en la couvrant d’un casque en bon état.

      

Le port de casque

Un moyen pour éviter les chocs crâniens

Instaurer au Bénin depuis plusieurs mois et mis en application le 02 Aout dernier, le port de casque pour les citoyens, semblent être une condamnation. Un moyen pour spolier la population de leur moyen financier. En effet, cette dernière ne considère pas l’importance du port de casque. Conduire les engins à deux roues à Cotonou, n’exclue pas les risques d’accident aux conducteurs, et pour cette cause, avoir son casque ne ferait que réduire les cas d’accidents les plus graves.

L'augmentation du port du casque est mise en avant comme moyen efficace de réduire les blessures et les décès sur la route. Chaque année les accidents de la route tuent, blessent ou rendent handicapées des usagers de la route. La plupart des décès sont évitables. Dans de nombreux pays à bas ou moyens revenus, les usagers de deux roues particulièrement, les motocyclistes, représentent plus de 50% des blessés ou des tués sur la route. Les blessures à la tête constituent la principale cause de décès et d'incapacité chez les motocyclistes et le coût de ces blessures est élevé, car elles requièrent des soins médicaux spécialisés ou une longue réadaptation. Cependant, le port du casque est le moyen le plus efficace de réduire les blessures à la tête et les décès provoqués par des accidents de motos ou de vélos. Il a été démontré que le port de casque, permettait de diminuer le risque et la gravité des blessures de plus de 70%. La probabilité d'un décès de presque 40% et qu'il réduisait sensiblement les coûts des soins associés à de tels accidents. De nombreux pays ont réussi à augmenter le port du casque en adoptant des lois le rendant obligatoire, en faisant appliquer ces lois et en informant le public à ce sujet, de même que sur les avantages du port du casque. Au Bénin, la sensibilisation n’a fait aucun effet sur la population, au contraire, cette dernière réfute la pratique qui selon elle, n’apporte aucun intérêt à la réduction de la pauvreté au Bénin. Doit-on rester en vie pour être riche ?ou être riche pour rester en vie ? A l’échelle mondiale, le nombre de motocycles et de bicyclettes et leur utilisation ont tendance à augmenter, tant à des fins de transport que de loisirs. En fait, l’essentiel de la croissance du nombre de véhicules sur les routes, dans le monde, tient à l’utilisation grandissante des deux-roues motorisés. Dans un accident de motocycle ou de bicyclette, deux mécanismes interviennent principalement, entraînant un traumatisme du cerveau par contact direct et par accélération–décélération. Chaque mécanisme, cause différents types de blessures. En cas de collision, le motocycliste ou le cycliste est souvent éjecté du motocycle ou de la bicyclette. Si sa tête heurte un objet, comme le sol, son mouvement vers l’avant est stoppé, mais le cerveau, qui a sa propre masse, continue d’avancer jusqu’à ce qu’il heurte la paroi intérieure du crâne. Il rebondit alors pour aller frapper le côté opposé du crâne. Le résultat de ce type de blessure peut aller du traumatisme crânien mineur, comme une commotion cérébrale, à un traumatisme crânien mortel. Les traumatismes crâniens qui résultent de blessures par contact ou par accélération–décélération, se divisent eux-mêmes en deux catégories, à savoir des plaies à la tête ouvertes ou fermées. La plupart des traumatismes cérébraux résultent de plaies fermées autrement dit, quand il n’y a pas de plaie ouverte au cerveau. Eviter ces cas de choc, revient à sécuriser sa tête, en la couvrant d’un casque en bon état.